Bonjour ami lecteur. Bon
benh voilà, loin de suspendre son vol, le temps file et nous voilà en 2014
avant même d’avoir vu passer 2013… Et pourquoi en serait-il autrement ?
Hein ? Je te le demande ?
Une année chasse
l’autre sans pour autant changer la France, sa périphérie et le vaste univers
qui l’entoure. Et c’est comme ça depuis le premier matin qui succéda à la première
nuit des temps immémoriaux…
Alors quoi, une
nouvelle année commence et faudrait s’en réjouir plus que de mesure ? Benh
non, mon con… Un matin comme les autres… Pas plus pas moins… Quoi qu’en disent
les éphémérides à Jules… Que si t’y penses bien, y’a l’ami Grégoire qu’est pas
d’acc’ et qui te dit que Niet 1er Janvier… Nicht… Pas encore… Sans
parler de tous les autres calendriers qui considèrent que la nouvelle année
n’est pas pour tout de suite et encore moins maintenant…
Tu piges donc bien la
vacuité de la chose… Hein ?
A tout prendre, ici
au moins, il se passe quelque chose au matin du 1er Janvier… Une
nouvelle année apparait dans la colonne de droite, celle qui contient les
archives de ce blog à haute valeur ajoutée. Et avec elle, finito 2013 et ses 40
billets tous plus mieux les uns que les autres… Bon, ils restent disponibles
pour peu que tu veuilles bien te donner la peine de quelques clics adéquates…
Mais paresseux comme je te sais, j’ai comme dans l’idée que tu n’en prendras
pas la peine…
Pas grave… Le blog
nouveau est arrivé et avec lui toute une année de grosses déconnades, coups de
gueules, coups de cœur, coups de bite dans le cul des conventions de toutes
sortes, coups de pieds dans les couilles des cons en tous genres aussi… Et tout
un tas d’autres coups tordus, de Jarnac, du père François, de soleil, de
chaleur, coups de trucs et coups de machin dont, pour dire le vrai, je n’ai pas
encore la moindre idée de ce qu’ils seront vraiment. On verra… Je ne vais pas
me faire tartir à essayer de prévoir ma prose, d’anticiper mon inspiration… Pas
envie… Je laisse le cours de ce blog aller au fil de l’eau… D’articles en
articles, de phrases en phrases, de mots en mots…N’en jetez plus !
Les mots… Voilà bien
la seule bouée à laquelle je veux bien me raccrocher… La seule certitude que
j’accepte… Quoique… Je trouverais bien moyen d’en placer de nouveaux, d’en
inventer quelques-uns… Au nez et à la barbe des gagadémiciens et de leur
dictionnaire Arlésien… On verra ce dont 2014 sera fait… et le contenu de ce
blog y afférant… Mais les mots pour le dire resteront le plus important…
Toujours… Et le plaisir de les manier, les tourner, les faire danser sur les
écrans blancs de tes nuits noires…
Ainsi donc, il ne
faut pas que tu t’attendes à voir ce petit espace changer du tout au tout pour
suivre l’air du temps et la mode du moment… Tu resteras ici en terrain connu… Du
Ytse quoi… Ton Ytse unique et préféré fidèle à lui-même… Et toi, tu pourras
toujours venir me lire… Me lire et pis c’est tout… Parce que je vais te couper
la chique… Hop. Plus de commentaire possible. Silence radio. N’en jetez
plus !
Ne le prends pas mal…
Y’a rien de personnel là-dedans… D’ailleurs j’en profite pour remercier les
généreux contributeurs qui m’ont encouragé dans mon entreprise depuis que
j’officie ici… Tous ceux qui, à un moment ou un autre, y sont allés de leur
petit ajout personnel… Qui pour rebondir sur mes propos, qui pour parler de
tout autre chose…
Mais il y avait aussi
les éternels malcontents, les chieurs, les chicaneurs, les enragés de frais,
tout bouffis de fiel et de rancœur… Les ceusses qui débarquaient ici la bave
aux lèvres ou la bouche en cul de poule pour s’en venir cracher la bile qui
leur montait au cœur à la lecture de mes petits pamphlets… Ils m’en voulaient
les gueux… Me reprochaient de leur mettre le nez dans leur merde… De les
montrer sous leur vrai jour de gros cons patentés… Ils me détestaient en plein.
Me haïssaient pour les vérités que je proclamais ici à la vue de tous… Des
vérités bien dérangeantes pour eux qu’aimeraient bien avoir l’air de tout ce
qu’ils ne sont pas… Ils m’auraient souhaité mort, ou à tout le moins
cyber-muet… Qu’ils n’aient plus à subir la honte du reflet que je leur
renvoyais à travers mes propos un brin flétrisseurs…
Ô je t’ai épargné la
plupart de leurs chouineries et récriminations… Pas que tu tombes en digue-digue
à la lecture de leurs logorrhées diarrhéiques… Pas t’incommoder toi qui es si
fragile… La modération était mon amie… Mais c’est marre… Basta… Alors c’est
fini, plus de commentaire possible chez le Ytse. N’en jetez plus !
Ça joue ? T’es
partant pour de nouvelles aventures ? On continue notre route les
deux ? Cool… Alors à bientôt…