lundi 29 octobre 2012

Y'a bon Tricao !


Bonjour cher lecteur et peut-être adieu… Ce n’est pas que je me lasse d’élucubrer ici sur tout et rien ni de t’en faire part mais je viens de lire avec délectation les petits billets d’un de mes camarades de jeu…et autant le dire tel que c’est…Je n’ai plus rien à ajouter…

D’ailleurs, toi aussi, si tu as fréquenté la clique Ménesso-Balbirienne, tu le connais bien, tu sais son talent, son style, sa plume… Sa plume surtout, toujours aussi agile. Qu’il la trempe dans l’acide le plus corrosif ou le sirop le plus doux… Bref, tu ne seras pas surpris, lorsque tu visiteras les pages de son espace de liberté flibustière, d’y trouver là matière à saines et édifiantes lectures…et francs éclats de rire…
D’y trouver surtout la quintessence de l’art bloguesque qui rend vaine toute autre œuvre de même objet…
Vas-y de ce pas si tu ne l’as pas encore fait… Cour… Vole… Va et admire !

Moi, ça fait lulure que je suis fan… et que je le crie bien haut ! Tiens, je vais te l’écrire tel que je le ressens… Je l’aime… D’un bel amour viril et fraternel autant que virtuel… Sa prose m’enchante… Elle fait la vie plus douce et me rendrait même les cons plus tolérables en me redonnant espoir dans ce genre humain qui tellement me désespère… Un genre humain qui n’est donc sans doute pas si dégueulasse pour compter parmi lui de telles belles personnes…
Bon… J’avais déjà, il est vrai, quelques bouées auxquelles me rattacher, une épouse aimée, une famille, des amis…et quelques Grands Maitres dont la pensée féconde est un tuteur de l’âme…
A le lire, on a les même d’ailleurs, lui qui me parle de Desproges, Dard, Cavanna, Audiard, Céline, Allais… lui qui me chante Brel et Brassens aux détours de ses propres textes… et lui aussi maintenant…
Bref, mon bistrot préféré dans mon imaginaire à moi est loin d’être un désert…

Alors, s’il m’arrive souvent, la quarantaine aidant sans doute, à laisser le désespoir l’emporter, je ne peux qu’apprécier d’avoir trouvé ce nouveau petit port, ce petit havre où je peux venir accoster lorsque la houle de la connerie humaine est trop forte et les alizés trop contraires… J’y viendrais sans doute plus souvent qu’à mon tour et espère alors ne pas trop déranger la quiétude de mon hôte…

…et puis tiens… Je me prends aussi à rêver que ma modeste œuvre à moi soit aussi appréciée par quelques bons camarades, à commencer par toi mon cher lecteur que je n’ai pas cœur à laisser tomber… et donc… je vais continuer à t’abreuver de petits papiers sans queue ni tête… et te redire souvent que la vérité est ailleurs en des pages où flotte un drapeau noir qui sera toujours le plus beau !